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L’Autorité de Régulation professionnelle de la publicité (« ARPP ») vient de publier son premier bilan sectoriel, « Publicité et produits cosmétiques ».

L’ARPP y souligne notamment l’engagement ancien et constant des professionnels du secteur, les recours fréquents à ses instances de validation pour s’assurer de la conformité des publicités et l’absence de plaintes ayant donné lieu à un examen en séance plénière devant le Jury de Déontologie Publicitaire (« JDP »).

Dans le cadre du premier bilan d’application de sa recommandation « Produits cosmétiques », elle présente les différents manquements qu’elle a pu observer dans le secteur. Les manquements les plus importants concernent la définition des produits cosmétiques (12 manquements), la présentation des performances des produits (10 manquements) et l’utilisation de « l’argument écologique » (7 manquements). Les autres manquements concernent, par exemple, l’utilisation de cautions médicales, les allégations anti-âge, la présentation de produits « anti-cellulite » ou encore les allégations se rapportant aux produits solaires. D’après l’ARPP, la plupart des annonceurs a répondu en indiquant « qu’ils allaient prendre en compte les remarques formulées ».

L’ARPP rappelle également les difficultés rencontrées au regard de sa recommandation « Mentions et renvois », l’exigence d’identifier le caractère publicitaire d’un publi-communiqué et l’obligation de traduire certains termes en langue étrangère.

L’ARPP conclut en faisant référence à la « Charte pour une publicité et une communication responsables de Cosmetic Europe » et appelle à ce qu’un bilan sur la publicité des produits cosmétiques soit réalisé en Europe.

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